Un groupe de personnes qui se réunissent un jeudi sur deux pour écrire

samedi 20 octobre 2007

Agnès Calu

Peter lut ce livre : la mère qui venait de faire elle-même chaque cake au jambon. Anna se servit une part du gros cake et trempa la portion dans une liqueur indonésienne. Pour premier signe, un hoquet, puis son nez, visqueux, pâtit de son haleine de retour de mission. «Oui, le vis Cake, celui que j’ai mangé, vénèr par Roban Guidon ( verl. <= ), qui voulait faire des galipettes, Oppella dans les montagnes ! C’est pourquoi les signes de fatigue l’avaient entraîné vers un frémissement hardcore qu’elle aurait pu vendre aux caméras du district, à ce monstre, ce gredin de Kazakhs de Mr. Pickerin ! -« Qui t’a rendue folle ?» demanda Louis Franz, le plus jeune de ces ken de Kazakhs, rejetons de Pickerin qui ont tous des sales idées. -«Satan doit l’incarner. » lança Peter. Puis surpris il enroba la mixture et la mit au frigo, léchant ses doigts dans l’ordre, puis dans l’ordre apparurent les premiers symptômes : haleine de missionnaire et baîllements. Le premier surpris, envahi par un sacré trac, puis une habilité surnaturelle, la folie puis il dit : «Ce jambon se gobe vite! Un bon snack pour les bons gros chiens comme moi !»; Ce philosophe hoquetteur, ayant un sentiment de satisfaction, celui qu’était devenu Peter, donnait des ordres vagabonds : Le «mini-Johnson des fjords» enduit de Forsog, partit à ce moment sur un spaghetti volant ! Lui qui vit nu, saintement haletait dans le chant de son esprit enflammé, sa thune n’aurait jamais suffit pour le jambon magique... -« L’esprit jeune! » (du mini Johnson) beugla Peter le gros cake devant son camarade, -«le musc de toi, nu, dezingué absolument mon esprit ! ». Les gens d’école, savaient reconnaître Mr Pickerin dans ces batifolage de fou furieux qui voulait du cake pour bader et s’auto satisfaire de son incertitude. Mini Johnson, avide déchu du marché parallèle «nobodyhelse» mais toute éventualité venant du ciel le laissait sainement sec, sombre, priant Sam-Su cent fois. Il psalmodiait dans une langue d’outre-monde pour quelque peuple, camarade ou cake de la sainteté des Kazakhs, qui prie Aviaja et comprend la volonté de Miss Molly. Cet hydromel, pour prochain colloque autour des références à «Og» qui sait nous fortifier, «Og» à l’haleine de cake et au carillon tintillonnant, nocturne, nous donnera more pleasure. La folie refroidie, fit disparaître Aviaja. Nu comme une gencive de porc, il (Peter) vit qu’il n’avait pas été brave. Aviaja était traître! Sur le lit de Samuel, «Og» le géobald de la nourriture, était assis et touchait de façon sidérante le «vis Cake». Il y avait comme des comètes bleues qui traversaient. Arriva la traître, incarné par le sultan «Og» allongé. Puis vinrent les oiseaux ... Les hommes nus et la traître mangeaient langoureusement le Cake et les nuggets, et un peu de hun car Ste Aldrig voulait venir. Ils firent gamelle commune. Tous eurent une nuit blessante, sidérés par l’effet «up side Down», terrorisés, ils remirent la fête du slip à la folie d’un jour lointain. En hiver ils ne connurent nul signe de vie d’Aviaja, ni du maudit jambon. Ils oublièrent, la fatigue et la lettre écrite sur papier par Samuel les remercia de leur emploi. «Og» et les Cakes disparurent dans l’ordre du retour à la vie saine.

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