Un groupe de personnes qui se réunissent un jeudi sur deux pour écrire

mardi 11 octobre 2016

Francine Abada

Pour moi écrire un texte rien qu'en alexandrins
C'est comme lorsqu'un chien tente de pisser debout
La tâche, en apparence semble facile, ma foi
Mais le pauvre clébard se sentant diminué
Par la grandeur du maître ne tente pas sa chance
Mais moi lorsque j'écris, je prend des airs de grande
Et je fais semblant d'être comme un fin écrivain
Et comme par magie, les vers sortent d'eux-mêmes 
Et je peux maintenant vous dire, mes chers collègues 
Qu'écrire est comme un jeu
Et lorsque l'on se prend pour quelqu'un qu'on n'est pas

Il arrive parfois que tout le monde y croie

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Perspectiviste acharné depuis 1995 /unremitting perspectivist