Un groupe de personnes qui se réunissent un jeudi sur deux pour écrire

samedi 8 novembre 2008

Marion Parpirolles

Être rongé par l'ennui, cela faisait partie de son charme. Lors d'une nuit trop chaude il comprit que ce sentiment serait vain. Peu lui importait qu'il fût loin d'être beau ou laid . Ailleurs, il commencerait une marche pour ne plus être mal. Soudain un hurlement retentit de la fenêtre ouverte, suivi d'un silence de plomb au centre de la pièce. C'était une femme qui était toujours seule et qui avait perdu la tête.

Avec une habitude majeure, la tache noire sur sa joue et ses mains très froides, chatoyaient. Elle se mit à balancer ses cheveux très courts et ses jambes, en une union envers le vide du ciel qui ne touchait pas le sol. Fallait-il pouvoir y voir un signe ou un motif du destin ? Des gâteaux trop cuits ou bien un trouble ? Sa grâce est d'autant plus convoitée qu'elle semble imprenable telle la glace des ténèbres. Crie fort ! Prends un verre d'eau. Avant ça, il y a d'abord eu une utilisation d'un autre événement noir, majeur et primordial en ce qui nous concerne. Arrête! j'ai peur, ça me fait mal au dos!.

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Perspectiviste acharné depuis 1995 /unremitting perspectivist