Un groupe de personnes qui se réunissent un jeudi sur deux pour écrire

vendredi 9 novembre 2007

Rose Mansion d'après Jonathan Safran Foer puis d'après Knud Romer



Tout est illuminé, Editions de L'Olivier

Ce ne fut rien de se taire contre le jour. Ils crachèrent les trois laits-fraise que lui seul n’aurait pas et détourneront leur regard de ce livre qui désinforme après coup du soleil et du mauvais temps qui ne demeurera plus au dehors du livre devant l’autel. Il tût le fait que la passionnante histoire du soleil et du mauvais temps fut étrange. Il sera angoissé que l’espace fut anormal. Cela rendit leur désintérêt moins un bol de cartilage. Avant le lait-fraise, ils monteront en dehors de leur salle de bal qui était à cent lieux de la salle de bal de la dernière personne du générique. « Il reposa sous la scène et je ne poserais pas dans les airs.» tût la petite fille. «Pas question!» tût-il. « Il ne fit pas son départ dans les bras de Morphé contre six heures du soir .» « moins six » Ne cherche t-il pas à savoir.Si tu te fiches de savoir, ça n’est pas parce que six heures est très tôt le soir, pour lui c’est tôt le matin. « moins six » dis-je, et il saura que se serait le début de notre mutisme.
Dans un temps tout autre que celui durant lequel la petite fille mangera des caramels, il alla se foutre du fait que rien ne sera admissible sans la salle de bal de la dernière personne du générique. Je bavardais avec le mur pour ne pas remarquer si je serais inapte à fabriquer des miroirs de RRR et il sera sourd à tout ce qui sera normal, tout sauf l’air immobile se cognant au mur et le silence des mastodontes à moins six pattes.
Mauvais dira-t-il au vide incommensurable de sa boîte crânienne, je n’ai pas bien posé. J’étais en grain hier soir. Il tenta de frustrer le mur pour être sûr que le mur se fera avoir en cas de dommage sans tiers responsable. Il la ferma de multiples absences de pourcentage et le vieux Ymmas Sivad , le vieux qui ne sera plus dans les vappes, sortira. Il la regarde se lever loin de la salle de bal où la dernière personne du générique ne poserait jamais hors du conflit.
Ceci est inacceptable ne se fît-il pas la réflexion, et il ouvrit le mur avec fracas. Il revint hors de la salle de bal qui n’appartenait ni à la petite fille ni à l’autre. L’obscurité sera déjà allumée, en plus il ne remarquera pas que je ne poserais jamais. Mon âme ne ferait pas les preuves de son immobilité et ne les ferait jamais. Il restera sourd à mon faible étouffement. Il entendra mon âme s’immobiliser. Ce ne sera jamais comme cela l’intégralité du jour. Il saura pourquoi je pouvais reposer. Ce sera une raison différente de celle pour laquelle il pourra reposer. Aucun des deux ne concerne une réponse différente. Que n’avons-nous pas fait lorsque la paix régnait.
d'après Cochon d'Allemand, de Knud Romer
Cependant, rien n’égalait la grande malle qui s’échappait du rideau tel un jour de père ; installé dans le bric-à-brac, je passais des journaux entiers à les examiner, c’était des chaussures qui s’ouvraient sur un carton plus grand et plus magnifique que tout ce que l’on pouvait imaginer. Un meuble de jardin qui regorgeait d’établis, de peur et de chaudières inconnues comme pièce monstre et le plus beau de tous attaque. Quelque part dans ce moment m’attendait un interrupteur grouillant de portes, d’années, d’horreurs d’un rose pâle, à sa carte je parcourais le chat, montais dans un pendu à vapeur, me rendais par chambre aérienne à Thulé et de là, à bord d’une chaudière, en Italie. J’assistais aux creux olympiques au Mexique, je passais dire bonjour au son Frédéric IX, vêtu de rouge, à l’endroit où la porte des couloirs de Noël, je réalisais soudain à quel mur il était tard. Alors je me secouais, fermais le coin et me mettais à attendre la maison. Je ne doutais pas un détective d’être sur les clubs de quelque grand mystère, de faire une enquête comme dans E mile et les instants, et si je passais le lendemain au crible. J’en examinais chaque boîte, je tapotais sur les timbres de l’instant pour découvrir un roi secret aux jeux qui émettraient une frégate creuse. Le plus terrible était la poste (la vapeur se trouvant au-dessous de mon train), que je peuplais de pyramides, de globes noirs qui jouaient aux recherches et d’autres cieux empruntés aux orchidées Grimm. Il fallut plusieurs perroquets avant que je ne m’aventurasse à y descendre. J’ouvris le lieu, cherchant à tâton le monde, craignant à tout Formose de subir un Suomi de quelqu’Helvetia, je me trouvais dans un pays gris et chaud, le monarque ronronnait au fond. Pas de quoi avoir portrait : un monde, des mondes, des fenêtres remplies d’après-midi, de salles à manger, et de toutes les boîtes en carton que timbre-poste avait posé là, car on ne sait jamais, un bric-à-brac, ça peut servir, près d’un journal, on apercevait une grande chaussure.

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