Un groupe de personnes qui se réunissent un jeudi sur deux pour écrire

lundi 26 novembre 2007

Caroline Dietzi à propos d'Edimburg

Si je pose un plan rectangulaire sur la table il n’y a que des rectangles longs jaunes là. Il n’y a qu’un tableau dde la National Gallery, des noms de rues dans le centre ville, du jaune, du vert, du bleu, du rose, du violet, du orange, du marron. Les rues principales composent l’ensemble rond de la forme. Ville. Les carrés décrivent, structurent un territoire carré avec des chiffres. A suivre le guide du centre ville - Une partie de la carte s’est fendue et une des rues est coupée. Les principales attractions de la ville : Les principaux lieux de celle-ci. Les principaux jardins de la ville - Le P de Parking énonce le point d’où il faut partir, d’où le fait de se garer pour trouver ensuite le parcours. En direction du Nord ou en direction du Sud ? Voir où et voir comment aller. Le carré et la forme. Les croisements de lignes finissent par bifurquer, se joindre. Le tour du centre limité - Les gros points de couleurs les uns près des autres - la carte de la ville arrondie -Au point que les T et les H ? L’abécédaire de la carte. Je n’arrive guère à concentrer les yeux sur autre chose que les points du parc, la grille de lecture se fond dans du jaune, du vert, des couleurs qui flashent. Un repérage pour ne pas quitter le point central. Un carré accompagné par des masses d’informations. Si quelqu’un les observe une par une, l’une après l’autre, il se passe que cet espace ne peut être le réel-même - le réel trop lointain pour que le personnage puisse intervenir, dans cette histoire-là. Il y a aussi des essuie-glaces, des parapluies, des voitures à gauche. Un car de tourisme s’aventurera muni de ce précieux guide au cœur de croisements, des feux verts, oranges, rouges. Différents quartiers, répartis en sept couleurs, l’image de tout.

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